Gabrielle Bouffay, la magicienne de la peinture, est née en 1930 à Saint-Avold (Moselle) et a étudié à l'Ecole des Beaux-Arts de Sarrebrück.
Spécialisée dans le dessin à l'encre de Chine au pinceau sur toile et sur parchemin, ainsi que la gouache et l'huile, elle compte 18 œuvres dans neuf grands musées et 600 dans des collections particulières dans le monde entier dont 39 dans la collection Stavros NIARCHOS. |
||
DANIELE PERRE (1924-2009). Rivage.
Toile signée et datée en bas à droite 86.
130 x 162 cm. 2800 €
Reproduit pleine page, page 178, dans le livre "Danièle Perré" de Lydia Harambourg.
DANIELE PERRE (1924-2009). Sous l'horizon des mers.
Toile signée en bas à droite, titrée, située et datée Chausey 80 au dos.
116 x 163 cm.
DANIELE PERRE (1924-2009). La fuite immobile.
Toile signée et datée en bas à gauche 88, contresignée et titrée au dos.
155 x 195 cm. Reproduit double page, page 184, dans le livre "Danièle Perré" de Lydia Harambourg.
3800 €
DANIELE PERRE (1924-2009). Dans l'éternelle halte.
Toile signée en bas à droite 82, contresignée, titrée et datée au dos.
132 x 196 cm. Reproduit double page, page 150, dans le livre "Danièle Perré" de Lydia Harambourg.
2800 €
DANIELE PERRE (1924-2009). Les enlisés.
Toile signée et datée en bas à droite 73, contresignée, titrée et datée au dos.
60 x 120 cm.
DANIELE PERRE (1924-2009). Les bois de solitude.
Toile signée et datée en bas à gauche 74, contresignée, titrée et datée au dos.
80 x 175 cm.
DANIELE PERRE (1924-2009). La nef aux rochers
Toile signée en bas à gauche, contresignée, titrée et datée 77 au dos.
60 x 120 cm. 1800 €
DANIELE PERRE (1924-2009). L'hélice aux algues .
Toile contresignée, titrée et datée 84 au dos.
145 x 114 cm. 2000 €
Reproduit pleine page, page 162, dans le livre "Danièle Perré" de Lydia Harambourg.
DANIELE PERRE (1924-2009). L'étrave fleur n°2.
Toile datée en bas à droite 77, contresignée et titrée au dos.
130 x 81 cm.
DANIELE PERRE (1924-2009). L'étrave aux algues.
Toile signée et datée en bas à droite 77, titrée et datée au dos.
81 x 130 cm. Reproduit double page, page 136, dans le livre "Danièle Perré" de Lydia Harambourg.
DANIELE PERRE (1924-2009). L'étrave.
Toile signée et datée en bas à droite 76, titrée et datée au dos.
96 x 146 cm. 2000 €
Reproduit double page, page 128, dans le livre "Danièle Perré" de Lydia Harambourg.
DANIELE PERRE (1924-2009). Après l'orage.
Toile signée en bas à droite, contresignée, titrée et datée 73 au dos.
116 x 81 cm. Reproduit pleine page, page 120, dans le livre "Danièle Perré" de Lydia Harambourg.
DANIELE PERRE (1924-2009)
Danièle Perré est née en 1924. Elle a grandi dans le quartier des Buttes Chaumont, un Paris poétique et contrasté où les élans esthétiques plongent dans les pavés inégaux et les racines folles. De cette ville, le jeune peintre a lancé son imagination à grands traits, sur des toiles démesurées, un monde d’épaves rejetées par la mer, des bateaux éventrés, pris dans des vasières, des racines noueuses et fortes, des tableaux saisissants, violemment colorés. Danièle Perré peint ses premières toiles, toujours des grands formats, en 1952, et sa dernière toile en 2005. Autodidacte, conseillée et soutenue par les peintres Breuillaud et Jacques Villon, elle remporte son premier prix en 1955, le Prix de la Société des Amateurs d'Art et Collectionneurs. Portée par le succès de ses peintures, notamment un portrait remarqué par la presse de Jacques Villon en 1956, ainsi que l’édition de lithographies chez Fernand Mourlot, Danièle Perré commence à exposer dès 1957. On peut admirer ses œuvres au salon de Mai, Salon des Indépendants, puis, rapidement, au Musée Galliéra et dans la galerie de Camille Renault, mécène, l'ami d’une vie. Le peintre réalisera des vitraux, notamment pour l’Église Saint-Jean-Baptiste de Caen. Ses expositions seront nombreuses et recherchées. Dès 1958, Danièle Perré expose à l’étranger, son œuvre jouira d'une dimension internationale jamais démentie. Parmi les galeries et les Musées qui l’ont accueillie tout au long de sa carrière, citons le Musée de Pensacola, la Far Gallery de New York, les Musées de Bratislava et de Prague, l’Institut de France de Tel-Aviv ou le Musée Nicolas Sursock de Beyrouth. À partir des années 1980, le Japon et la Chine célèbrent la peintre française. Sa dernière exposition asiatique a été réalisée dans le cadre de la « France-Chine-Japan Contemporary art exhibition » en 2006. Danièle Perré nous a quittés en 2009. Femme discrète et peintre exubérante, le peintre a fréquenté les plus grands artistes de son temps. Ses amis furent Jean Taralon, Maurice Estève, Claude-Michel Cluny, Édouard Pignon, Hélène Parmelin, Pierre Brisset, Jean Lescure, Jean Coulot, Jacques Prévert, Xavier Longobardi, André Lejard, Camille Renault, André Beaudin, Pierre Gastaud, Robert Marteau, … Ce sont encore eux qui parlent le mieux d'elle. À l’occasion d’une exposition à Toulouse en 1962, Jacques Villon a décrit ses peintures comme « un entrecroisement d’impressions subtiles ». Le journaliste et critique d'art Franck Elgar décrit l'œuvre de Danièle Perré comme « à la fois volontaire et imaginative, rude et tendre, sensible et intellectuelle ». Il avoue n'en connaître « guère d’autres qu’elle qui puissent dépasser son graphisme précis et délié, l’aplomb de ses droites et l’élan hardi de ses courbes ». La dernière exposition personnelle de Danièle Perré s'est déroulée du 9 mars au 21 avril 2006, à la Galerie Guillaume, 34 rue de l'Arcade, à Paris. Un ouvrage sur son œuvre et sa vie a été réalisé en 2012 par Lydia Harambourg « Danièle Perré », Edition Fragments International. |
|
Site intenet La peintre Danièle Perré. www.daniele-perre.fr |